Serigne Pape Makhtar Kébé, le sage au cœur de miel et à l’âme de diamant.
Je n’arrive toujours pas à croire qu’en ce monde,
quelqu’un ait pu trouver la force, ou plutôt la faiblesse,
d’insulter Pape Makhtar Kébé — cet homme dont la simple présence apaise les âmes.
Il est la bonté faite homme,
l’humilité incarnée,
la sagesse silencieuse qui enseigne sans élever la voix,
et l’éducation parfaite que même les plus grands maîtres envieraient.
Je le dis du plus profond de mon cœur :
il n’existe pas, au Sénégal ni ailleurs,
une âme plus pure, plus respectueuse et plus lumineuse que la sienne.
Depuis cette sortie malheureuse,
et les flots d’irrespect déversés sur les réseaux sociaux,
mes larmes du cœur ne cessent de couler.
Non pas des larmes de colère,
mais celles de la tristesse, de l’incompréhension et de la crainte.
Car toucher à Pape Makhtar Kébé,
c’est blesser la lumière,
c’est méconnaître la valeur d’un homme de Dieu,
d’un guide au cœur vaste et à la foi immense,
d’un sage dont la grandeur se mesure au silence.
Puisse le Très-Haut ouvrir les yeux et les cœurs
de ceux qui, par ignorance ou orgueil,
cherchent à ternir l’éclat d’une âme qu’aucune obscurité ne saurait atteindre.
IBRAHIMA DIOUF dit GAYE GAYE
